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L'ASSOCIATION DU MEMORIAL NATIONAL DES VETERANS DES ESSAIS NUCLÉAIRES INVITEE A LA COMMEMORATION DU 70EME ANNIVERSAIRE DE L'ARRESTATION DE JEAN MOULIN

20 Juin 2013 , Rédigé par amndvden

Le Président Roland PICAUD a été convié par Monsieur Eric JALON Préfet de la Savoie et Monsieur Philippe MASURE Maire de la Ville d'Albertville pour être aux côtés des autorités Régionale, Départementale, représentation nationale, Associations d'Anciens Combattants, Lycéens du Lycée Jean MOULIN, écoliers..... Pour Commémorer le 70ème Anniversaire de l'arrestation de Jean MOULIN.

Cérémonie d'hommage qui s'est déroulée en présence de la famille de Jean MOULIN et de sa soeur Suzanne.

Cérémonie qui a débuté au Lycée Jean MOULIN d'Albertville avec une exposition présentant la vie et le combat de cet homme qui fut Sous Préfet de cette ville de Savoie e Homme de combat contre le fascisme qui n'a pas parlé sous la torture.

Cérémonie d'hommage envers cet homme de courage et résistant de la première heure qui s'est poursuivie et achevée à la Sous Préfecture avec les dépôts de gerbes par les corps constitués.

Visite du bureau de Jean MOULIN et qui depuis la libération les Sous Préfets qui se succèdent ont le privilège de travailler sur ce bureau qui est rentré dans l'histoire.

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Depuis sa création l'Association du Mémorial National des Vétérans des Essais Nucléaires a parcouru beaucoup de chemin et son sérieux est reconnu. L'Association du Mémorial National des Vétérans des Essais Nucléaires démontre son sens des valeurs et du devoir de mémoire en rendant hommage à ceux qui ont été jusqu'au sacrifice de leur vie pour défendre la patrie. Et c'est pourquoi, hommage a été rendu à Jean MOULIN dit Max.

Jean Moulin est né le 20 juin 1899 à Béziers où son père était professeur d'histoire et conseiller général radical-socialiste de l'Hérault. Bachelier en 1917, il s'inscrit à la faculté de droit de Montpellier et entre parallèlement comme attaché au cabinet du préfet de l'Hérault. Jean Moulin est mobilisé en avril 1918 et envoyé dans les Vosges où le surprend l'armistice de novembre 1918. Licencié en droit, il entre très tôt dans la carrière préfectorale : d'abord secrétaire général de Préfecture à Montpellier, il est en 1925 le plus jeune sous-préfet de France, à Albertville en Savoie. Il est successivement sous-préfet de Châteaulin (1930-1933), de Thonon (1933) puis secrétaire général de la Somme (1934-1936).	  Jean Moulin Il a également appartenu à plusieurs cabinets ministériels et notamment celui de Pierre Cot, Ministre de l'Air dans le gouvernement du Front populaire d'où il s'engage dans l'aide clandestine à l'Espagne républicaine. Nommé préfet en mars 1937, il est, là encore, le plus jeune préfet de France et est nommé à Rodez en 1938 puis à Chartres l'année suivante. Lorsque la guerre éclate, il veut rejoindre les troupes, mais il est maintenu en affectation spéciale à Chartres où il fait face à l'exode de la population. Le 17 juin 1940, il reçoit alors les premières unités allemandes ; les autorités d’occupation veulent lui faire signer une déclaration accusant des unités de tirailleurs africains d'avoir commis des atrocités envers des civils à Saint-Georges-sur-Eure, en réalité victimes des bombardements allemands. Maltraité et enfermé parce qu'il refuse de signer, il se tranche la gorge. Soigné in extremis par les Allemands, il reste à son poste avant d'être, comme préfet de gauche, révoqué par Vichy début novembre ; il part pour la zone sud, s'installe dans la maison familiale de Saint-Andiol (Bouches-du-Rhône) et prend contact avec les principaux mouvements de résistance de zone sud. En septembre 1941, il quitte la France par ses propres moyens pour rejoindre l'Angleterre depuis le Portugal après avoir traversé l'Espagne. A Londres, il est reçu par le général de Gaulle auquel il fait le compte-rendu de l'état de la résistance en France et de ses besoins. Rapidement convaincu de l'intelligence et des capacités de son interlocuteur, le chef des Français libres renvoie Moulin en métropole avec pour mission de rallier et d'unir les mouvements de résistance. Il doit également créer une Armée secrète en séparant le militaire du politique. Avec des moyens financiers et de transmission, Jean Moulin est parachuté sur les Alpilles le 2 janvier 1942 à 3h30 du matin. Il installe son Q.G. à Lyon. Délégué général du général de Gaulle, "Rex", alias Moulin, commence à mener à bien sa tâche complexe et délicate en zone sud. Il rencontre Henri Frenay, Emmanuel d'Astier et Jean-Pierre Lévy, respectivement responsables des trois principaux mouvements de la zone sud Combat, Libération et Franc-Tireur, leur apporte une aide financière, parvient, non sans mal, à aplanir leurs différends. Son action aboutit, en octobre 1942 à la création de l'Armée secrète (AS), fusion des groupes paramilitaires de ces trois grands mouvements, dont le commandement est confié au général Delestraint puis, au début de l'année 1943, à la création des Mouvements unis de Résistance (MUR) rassemblant Combat,Libération et Franc-Tireur. Grand amateur d'art et dessinateur lui-même, l'ancien préfet Jean Moulin ouvre entretemps une galerie d'art à Nice, la galerie Romanin (son propre pseudonyme d'artiste), qui lui sert de couverture. En février 1943, Jean Moulin se rend à nouveau à Londres où il rend compte de sa mission et est décoré par le général de Gaulle de la Croix de la Libération. De retour en France le 20 mars par une opération Lysander, "Rex" devenu "Max" est le seul représentant du général de Gaulle pour la Résistance. Ses efforts dans toutes les directions, malgré certaines réticences, aboutissent bientôt à la constitution du Conseil national de la Résistance (CNR) dont la première réunion se tient sous sa présidence au 48 de la rue du Four à Paris, le 27 mai 1943. Il s'agit d'un conseil réunissant les responsables de mouvements de résistance des deux zones mais aussi des responsables politiques et syndicaux. Important politiquement car il symbolise aux yeux du monde - et surtout des Alliés - l'unité française, le CNR adopte lors de sa première réunion une motion reconnaissant le général de Gaulle comme le seul chef politique de la France combattante. Dans le but d'organiser rapidement la relève à la tête de l'Armée secrète qui vient d'être décapitée par l'arrestation à Paris du général Delestraint, Moulin en convoque les responsables pour le 21 juin 1943 à Caluire, dans la banlieue de Lyon, chez le Docteur Dugoujon. Mais à la suite de dénonciations, la police de sécurité allemande (SIPO-SD) menée par Klaus Barbie intervient : tous sont arrêtés et emmenés à la prison du Fort Montluc. Interrogé par Barbie qui l'identifie après deux ou trois jours, Jean Moulin ne dit rien. Il est transféré début juillet avenue Foch à Paris puis dans une villa de Neuilly, où la Gestapo avait coutume "d'interroger" des personnalités importantes ; sans que l'on sâche réellement si c'est à cause des tortures subies ou parce qu'il a tenté de se suicider, son état de santé est désespéré. C'est vraisemblablement pour tenter de le soigner et de le conserver comme otage qu'il est transféré en Allemagne. C'est dans le train, quelque part entre Metz et Francfort, alors qu'il n'a déjà plus figure humaine, qu'il meurt le 8 juillet 1943. Ses cendres, jusqu'alors déposées au Père Lachaise, ont été transférées au Panthéon le 19 décembre 1964.

Jean Moulin est né le 20 juin 1899 à Béziers où son père était professeur d'histoire et conseiller général radical-socialiste de l'Hérault. Bachelier en 1917, il s'inscrit à la faculté de droit de Montpellier et entre parallèlement comme attaché au cabinet du préfet de l'Hérault. Jean Moulin est mobilisé en avril 1918 et envoyé dans les Vosges où le surprend l'armistice de novembre 1918. Licencié en droit, il entre très tôt dans la carrière préfectorale : d'abord secrétaire général de Préfecture à Montpellier, il est en 1925 le plus jeune sous-préfet de France, à Albertville en Savoie. Il est successivement sous-préfet de Châteaulin (1930-1933), de Thonon (1933) puis secrétaire général de la Somme (1934-1936). Jean Moulin Il a également appartenu à plusieurs cabinets ministériels et notamment celui de Pierre Cot, Ministre de l'Air dans le gouvernement du Front populaire d'où il s'engage dans l'aide clandestine à l'Espagne républicaine. Nommé préfet en mars 1937, il est, là encore, le plus jeune préfet de France et est nommé à Rodez en 1938 puis à Chartres l'année suivante. Lorsque la guerre éclate, il veut rejoindre les troupes, mais il est maintenu en affectation spéciale à Chartres où il fait face à l'exode de la population. Le 17 juin 1940, il reçoit alors les premières unités allemandes ; les autorités d’occupation veulent lui faire signer une déclaration accusant des unités de tirailleurs africains d'avoir commis des atrocités envers des civils à Saint-Georges-sur-Eure, en réalité victimes des bombardements allemands. Maltraité et enfermé parce qu'il refuse de signer, il se tranche la gorge. Soigné in extremis par les Allemands, il reste à son poste avant d'être, comme préfet de gauche, révoqué par Vichy début novembre ; il part pour la zone sud, s'installe dans la maison familiale de Saint-Andiol (Bouches-du-Rhône) et prend contact avec les principaux mouvements de résistance de zone sud. En septembre 1941, il quitte la France par ses propres moyens pour rejoindre l'Angleterre depuis le Portugal après avoir traversé l'Espagne. A Londres, il est reçu par le général de Gaulle auquel il fait le compte-rendu de l'état de la résistance en France et de ses besoins. Rapidement convaincu de l'intelligence et des capacités de son interlocuteur, le chef des Français libres renvoie Moulin en métropole avec pour mission de rallier et d'unir les mouvements de résistance. Il doit également créer une Armée secrète en séparant le militaire du politique. Avec des moyens financiers et de transmission, Jean Moulin est parachuté sur les Alpilles le 2 janvier 1942 à 3h30 du matin. Il installe son Q.G. à Lyon. Délégué général du général de Gaulle, "Rex", alias Moulin, commence à mener à bien sa tâche complexe et délicate en zone sud. Il rencontre Henri Frenay, Emmanuel d'Astier et Jean-Pierre Lévy, respectivement responsables des trois principaux mouvements de la zone sud Combat, Libération et Franc-Tireur, leur apporte une aide financière, parvient, non sans mal, à aplanir leurs différends. Son action aboutit, en octobre 1942 à la création de l'Armée secrète (AS), fusion des groupes paramilitaires de ces trois grands mouvements, dont le commandement est confié au général Delestraint puis, au début de l'année 1943, à la création des Mouvements unis de Résistance (MUR) rassemblant Combat,Libération et Franc-Tireur. Grand amateur d'art et dessinateur lui-même, l'ancien préfet Jean Moulin ouvre entretemps une galerie d'art à Nice, la galerie Romanin (son propre pseudonyme d'artiste), qui lui sert de couverture. En février 1943, Jean Moulin se rend à nouveau à Londres où il rend compte de sa mission et est décoré par le général de Gaulle de la Croix de la Libération. De retour en France le 20 mars par une opération Lysander, "Rex" devenu "Max" est le seul représentant du général de Gaulle pour la Résistance. Ses efforts dans toutes les directions, malgré certaines réticences, aboutissent bientôt à la constitution du Conseil national de la Résistance (CNR) dont la première réunion se tient sous sa présidence au 48 de la rue du Four à Paris, le 27 mai 1943. Il s'agit d'un conseil réunissant les responsables de mouvements de résistance des deux zones mais aussi des responsables politiques et syndicaux. Important politiquement car il symbolise aux yeux du monde - et surtout des Alliés - l'unité française, le CNR adopte lors de sa première réunion une motion reconnaissant le général de Gaulle comme le seul chef politique de la France combattante. Dans le but d'organiser rapidement la relève à la tête de l'Armée secrète qui vient d'être décapitée par l'arrestation à Paris du général Delestraint, Moulin en convoque les responsables pour le 21 juin 1943 à Caluire, dans la banlieue de Lyon, chez le Docteur Dugoujon. Mais à la suite de dénonciations, la police de sécurité allemande (SIPO-SD) menée par Klaus Barbie intervient : tous sont arrêtés et emmenés à la prison du Fort Montluc. Interrogé par Barbie qui l'identifie après deux ou trois jours, Jean Moulin ne dit rien. Il est transféré début juillet avenue Foch à Paris puis dans une villa de Neuilly, où la Gestapo avait coutume "d'interroger" des personnalités importantes ; sans que l'on sâche réellement si c'est à cause des tortures subies ou parce qu'il a tenté de se suicider, son état de santé est désespéré. C'est vraisemblablement pour tenter de le soigner et de le conserver comme otage qu'il est transféré en Allemagne. C'est dans le train, quelque part entre Metz et Francfort, alors qu'il n'a déjà plus figure humaine, qu'il meurt le 8 juillet 1943. Ses cendres, jusqu'alors déposées au Père Lachaise, ont été transférées au Panthéon le 19 décembre 1964.

Trahi le 21 juin 1943 à Caluire, dans la banlieue lyonnaise, torturé à la prison Montluc de Lyon, Jean Moulin meurt en gare de Metz sans livrer le moindre secret, dans le train qui le conduit en Allemagne. Son entrée au Panthéon en 1964 immortalise à jamais dans la mémoire collective le symbole intemporel de la Résistance, dont il a su transmettre des traits exemplaires.

Trahi le 21 juin 1943 à Caluire, dans la banlieue lyonnaise, torturé à la prison Montluc de Lyon, Jean Moulin meurt en gare de Metz sans livrer le moindre secret, dans le train qui le conduit en Allemagne. Son entrée au Panthéon en 1964 immortalise à jamais dans la mémoire collective le symbole intemporel de la Résistance, dont il a su transmettre des traits exemplaires.

Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre

Photos Roland PICAUD. Exposition présentée par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre

Photos: Roland PICAUD. Présentation, par le Proviseur du Collège Jean Moulin, des travaux des élèves des classes de 3ème du Collège Jean MOULIN et des écoles primaires d'Albertville
Photos: Roland PICAUD. Présentation, par le Proviseur du Collège Jean Moulin, des travaux des élèves des classes de 3ème du Collège Jean MOULIN et des écoles primaires d'Albertville
Photos: Roland PICAUD. Présentation, par le Proviseur du Collège Jean Moulin, des travaux des élèves des classes de 3ème du Collège Jean MOULIN et des écoles primaires d'Albertville
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Photos: Roland PICAUD. Présentation, par le Proviseur du Collège Jean Moulin, des travaux des élèves des classes de 3ème du Collège Jean MOULIN et des écoles primaires d'Albertville
Photos: Roland PICAUD. Présentation, par le Proviseur du Collège Jean Moulin, des travaux des élèves des classes de 3ème du Collège Jean MOULIN et des écoles primaires d'Albertville

Photos: Roland PICAUD. Présentation, par le Proviseur du Collège Jean Moulin, des travaux des élèves des classes de 3ème du Collège Jean MOULIN et des écoles primaires d'Albertville

Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
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Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités
Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités

Photos: Roland PICAUD. Discours des autorités

Photos Roland PICAUD: Déroulement cérémonie devant la plaque commémorative avec dépôt de gerbes par les autorités
Photos Roland PICAUD: Déroulement cérémonie devant la plaque commémorative avec dépôt de gerbes par les autorités
Photos Roland PICAUD: Déroulement cérémonie devant la plaque commémorative avec dépôt de gerbes par les autorités
Photos Roland PICAUD: Déroulement cérémonie devant la plaque commémorative avec dépôt de gerbes par les autorités
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Photos Roland PICAUD: Déroulement cérémonie devant la plaque commémorative avec dépôt de gerbes par les autorités
Photos Roland PICAUD: Déroulement cérémonie devant la plaque commémorative avec dépôt de gerbes par les autorités

Photos Roland PICAUD: Déroulement cérémonie devant la plaque commémorative avec dépôt de gerbes par les autorités

Photos Roland PICAUD: Bureau de Jean MOULIN derrière lequel, depuis la libération, les Sous Préfets qui se succèdent ont l'immense privilège de prendre place pour leur fonction
Photos Roland PICAUD: Bureau de Jean MOULIN derrière lequel, depuis la libération, les Sous Préfets qui se succèdent ont l'immense privilège de prendre place pour leur fonction

Photos Roland PICAUD: Bureau de Jean MOULIN derrière lequel, depuis la libération, les Sous Préfets qui se succèdent ont l'immense privilège de prendre place pour leur fonction

L'ASSOCIATION DU MEMORIAL NATIONAL DES VETERANS DES ESSAIS NUCLÉAIRES INVITEE A LA COMMEMORATION DU 70EME ANNIVERSAIRE DE L'ARRESTATION DE JEAN MOULIN
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