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IL Y A 57 ANS LE 14 FÉVRIER 1964 : LA BOMBE ATOMIQUE FRANÇAISE « OPALE » EXPLOSAIT À IN ECKER (SAHARA ALGÉRIEN)

14 Février 2021 , Rédigé par amndvden

IL Y A 57 ANS LE 14 FÉVRIER 1964 : LA BOMBE ATOMIQUE FRANÇAISE « OPALE » EXPLOSAIT À IN ECKER (SAHARA ALGÉRIEN)
IL Y A 57 ANS LE 14 FÉVRIER 1964 : LA BOMBE ATOMIQUE FRANÇAISE « OPALE » EXPLOSAIT À IN ECKER (SAHARA ALGÉRIEN)
Après les 4 premiers Essais Nucléaire atmosphériques qui portaient le nom de GERBOISE BLEUE ; ROUGE ; BLANCHE et VERTE du nom d’un mammifères rongeurs à grande pattes postérieures de la famille de Dipodidae, la France procéda dans le Sahara Algérien 13 tirs souterrains et portant chacun le nom d’une pierre précieuse.
Désignés par des noms de pierres précieuses, treize essais nucléaires Français souterrains sont effectués au CEMO du 7 novembre 1961 au 16 février 19662. Les tirs sont réalisés en galeries, chacune étant creusée horizontalement dans un massif granitique du Hoggar le Tan Afella.
Désignés par des noms de pierres précieuses, treize essais nucléaires Français souterrains sont effectués au CEMO du 7 novembre 1961 au 16 février 19662. Les tirs sont réalisés en galeries, chacune étant creusée horizontalement dans un massif granitique du Hoggar le Tan Afella.

Désignés par des noms de pierres précieuses, treize essais nucléaires Français souterrains sont effectués au CEMO du 7 novembre 1961 au 16 février 19662. Les tirs sont réalisés en galeries, chacune étant creusée horizontalement dans un massif granitique du Hoggar le Tan Afella.

Il y a 57 ans et plus précisément le vendredi 14 février 1964 la Bombe atomique "OPALE" 10ème essais nucléaires et le 6ème de la série en galerie explosa à IN ECKER.
 La Montagne d'une altitude de 1000 mètres, ce bloc granitique fut percé d'une série de galeries horizontales. Chaque galerie devant servir à une expérience, elle se terminait à son extrémité, par un colimaçon qui abritait la chambre de tir, lieu de l'installation de l'engin à tester. Le colimaçon devait, en principe, absorber l'énergie de l'explosion, et la fusion des roches devait obstruer la galerie de sortie .
 La Montagne d'une altitude de 1000 mètres, ce bloc granitique fut percé d'une série de galeries horizontales. Chaque galerie devant servir à une expérience, elle se terminait à son extrémité, par un colimaçon qui abritait la chambre de tir, lieu de l'installation de l'engin à tester. Le colimaçon devait, en principe, absorber l'énergie de l'explosion, et la fusion des roches devait obstruer la galerie de sortie .
 La Montagne d'une altitude de 1000 mètres, ce bloc granitique fut percé d'une série de galeries horizontales. Chaque galerie devant servir à une expérience, elle se terminait à son extrémité, par un colimaçon qui abritait la chambre de tir, lieu de l'installation de l'engin à tester. Le colimaçon devait, en principe, absorber l'énergie de l'explosion, et la fusion des roches devait obstruer la galerie de sortie .
 La Montagne d'une altitude de 1000 mètres, ce bloc granitique fut percé d'une série de galeries horizontales. Chaque galerie devant servir à une expérience, elle se terminait à son extrémité, par un colimaçon qui abritait la chambre de tir, lieu de l'installation de l'engin à tester. Le colimaçon devait, en principe, absorber l'énergie de l'explosion, et la fusion des roches devait obstruer la galerie de sortie .

La Montagne d'une altitude de 1000 mètres, ce bloc granitique fut percé d'une série de galeries horizontales. Chaque galerie devant servir à une expérience, elle se terminait à son extrémité, par un colimaçon qui abritait la chambre de tir, lieu de l'installation de l'engin à tester. Le colimaçon devait, en principe, absorber l'énergie de l'explosion, et la fusion des roches devait obstruer la galerie de sortie .

ORGANISATION DES ESSAIS

Pour parvenir au niveau de la montagne où l'on souhaitait effectuer les tirs, il fallut construire des routes qui conduisent au flanc de la montagne et des systèmes d’adduction d’eau.

PERSONNEL

Il y avait environ 2 500 militaires et environ 2 500 travailleurs PLO (Population Laborieuse des Oasis). Quand il y avait une explosion, il y avait plus de 9 000 personnes sur le site. » Les PLO - les « Pélos » pour le sobriquet qui leur restera et entrera dans l'argot courant - étaient principalement employés à des travaux de manutention dans les galeries tandis que le Génie militaire construisait les routes.

IL Y A 57 ANS LE 14 FÉVRIER 1964 : LA BOMBE ATOMIQUE FRANÇAISE « OPALE » EXPLOSAIT À IN ECKER (SAHARA ALGÉRIEN)
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IL Y A 57 ANS LE 14 FÉVRIER 1964 : LA BOMBE ATOMIQUE FRANÇAISE « OPALE » EXPLOSAIT À IN ECKER (SAHARA ALGÉRIEN)

MYTHOLOGIE-SUPERSTITION ET LÉGENDE

À IN ECKER, la montagne des Essais Nucléaires Français fait l'objet d'une mythologie ou la superstition et la légende sont encore d'actualité.

Une histoire sur cette montagne a été racontée, qui est passée de bouches à oreilles. Elle est étonnante mais on peut comprendre que des gens, pour qui le nucléaire est quelque chose d'inexplicable et d'impalpable, qu'il a fallu trouver explication à l'interdiction d'approcher et de chercher ce qui se cachait derrière cette occupation étrangère.

En fait il a été raconté que cette montagne recelait de l'or, et l'or dans la tradition imourhar porte malheur. C'est pourquoi les bijoux étaient toujours en argent.

Un bon moyen effectivement de mettre en exergue toute tentative de recherche et d'intrusion là ou se trouve le mal.

Cette histoire est toujours véhiculée par la tradition orale, mais qu'en sera-t-il lorsqu'elle disparaîtra, prendront-ils la mesure réelle du danger?

 

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