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PAGE D’HISTOIRE MÉCONNUE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE : HOMMAGE AU 25ÈME RÉGIMENT DE TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS MASSACRÉ À CHASSELAY (RHÔNE) LE 20 JUIN 1940 PAR L’INFANTERIE RÉGIMENT GROSSDEUTSCHLAND ET LA DIVISION SS ALLEMANDE TOTENKOPT (TÊTE DE MORT).

30 Janvier 2022 , Rédigé par amndvden

Photo Sylvain MORIN

Photo Sylvain MORIN

INTRODUCTION

 

C’est une page d’histoire méconnue de la seconde guerre mondiale dont les faits se sont produits à Chasselay (Rhône) où des hommes qui ont fait leur devoir pour défendre le sol de France jusqu’à l’ultime combat ont trouvé la mort dans des conditions horribles qui ont dépassées l’entendement.

 

Une atrocité qui a fait que la vie d’être humain a été bafouée et que la Convention de Genève du 27 Juillet 1929 relative au traitement des prisonniers de guerre l’a été tout autant.

 

 

 

 

PAGE D’HISTOIRE MÉCONNUE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE : HOMMAGE AU 25ÈME RÉGIMENT DE TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS MASSACRÉ À CHASSELAY (RHÔNE) LE 20 JUIN 1940 PAR L’INFANTERIE RÉGIMENT GROSSDEUTSCHLAND ET LA DIVISION SS ALLEMANDE TOTENKOPT (TÊTE DE MORT).

« La Convention de Genève du 27 juillet 1929 sur le traitement des prisonniers de guerre compte 97 articles. Elle pose le principe général selon lequel les captifs doivent être traités, en tout temps, avec humanité. Ils doivent être notamment protégés contre les actes de violence, les insultes et la curiosité publique ; en outre il est interdit d'exercer des représailles contre eux.« 

Photo Sylvain MORIN

Photo Sylvain MORIN

LE MOT DU PRÉSIDENT NATIONAL, ROLAND PICAUD

C’est un épisode de la deuxième guerre mondiale que moi-même je n’avais pas connaissance et en avant propos je tiens à remercier l’Administrateur de l’A.M.N.D.V.D.E.N, Sylvain MORIN, qui m’a fait parvenir des photos et informé de l’existence du TATA SÉNÉGALAIS DE CHASSELAY (RHÔNE), dont la genèse va vous être présenté.

 

 

PAGE D’HISTOIRE MÉCONNUE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE : HOMMAGE AU 25ÈME RÉGIMENT DE TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS MASSACRÉ À CHASSELAY (RHÔNE) LE 20 JUIN 1940 PAR L’INFANTERIE RÉGIMENT GROSSDEUTSCHLAND ET LA DIVISION SS ALLEMANDE TOTENKOPT (TÊTE DE MORT).

POURQUOI PRÉSENTER CE SUJET QUI N’A AUCUNE RELATION AVEC LE MÉMORIAL NATIONAL DES VÉTÉRANS DES ESSAIS NUCLÉAIRES ?

 

Tout d’abord c’est un hommage respectueux envers tous ces hommes qui loin de leur village et pays ont lutté contre le nazisme pour la liberté de la France et de sa nation. C’est pourquoi l’Association du Mémorial National des Vétérans des Essais Nucléaires s’incline devant ces courageux hommes qui ont  combattu et résisté devant l’ennemi sans esprit de recul même débordé.

 

C’est pourquoi ces hommes qui appartenaient au 25ème Régiment de Tirailleurs Sénégalais ainsi que les Légionnaires méritent que leur mémoire soit honorée.

 

DES HOMMES D'HONNEUR QUI NON SEULEMENT ONT PERDU LA VIE SOUS LES BALLES, MAIS QUI COMBLE DE L’HORREUR AURONT ÉTÉ ÉCRASÉS PAR LES PANZERS !

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Des soldats Allemands, si ont peu encore les qualifier de « soldats », qui n’ont pas respecté la Convention de Genève concernant les prisonniers de guerre, auront commis l’infamie.

 

PAGE D’HISTOIRE MÉCONNUE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE : HOMMAGE AU 25ÈME RÉGIMENT DE TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS MASSACRÉ À CHASSELAY (RHÔNE) LE 20 JUIN 1940 PAR L’INFANTERIE RÉGIMENT GROSSDEUTSCHLAND ET LA DIVISION SS ALLEMANDE TOTENKOPT (TÊTE DE MORT).
PAGE D’HISTOIRE MÉCONNUE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE : HOMMAGE AU 25ÈME RÉGIMENT DE TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS MASSACRÉ À CHASSELAY (RHÔNE) LE 20 JUIN 1940 PAR L’INFANTERIE RÉGIMENT GROSSDEUTSCHLAND ET LA DIVISION SS ALLEMANDE TOTENKOPT (TÊTE DE MORT).

 

Devant la barbarie issue de la folie humaine trempée dans une idéologie abjecte, immonde, répugnante qui a entrainé le monde dans ce cataclysme qu'était la seconde guerre mondiale trouvera son épilogue avec la capitulation allemande le 8 mai 1945. Ce qui aura pour conséquence que l’ère nucléaire entrera en jeu pour qu’une 3ème guerre mondiale n’ait pas lieu.

 

Et c’est pourquoi la France sur décision du Général DE GAULLE rejoindra les grandes nations qui se doteront de la Bombe Atomique. Après 70 ans de paix ont peu aisément dire que la Bombe Atomique est une force de dissuasion qui aura permis d’éviter tout conflit et ainsi de préserver la Nation de toutes velléités  à son encontre.

 

Ceci est du grâce à l’ensemble des Vétérans (Civils et Militaires) qui ont participé au programme nucléaire sur les 36 années d’Expérimentations qui se sont déroulés au Sahara Algérien et en Polynésie Française et qui ont permis à la mise au point de la Bombe A et de la Bombe Thermonucléaire. Le peuple de France doit en avoir conscience comme elle doit s'incliner envers tous ceux qui ont porté au péril de leur vie les armes pour sa liberté et qui pour nombre d'entre eux sont morts au champ d'honneur.

 

Les Vétérans des Essais Nucléaires sont devenus à leur tour quoique qu’en pense les « anti » des héros et des hommes d’honneur qui méritent de rentrer dans l’histoire de France. Et c’est pourquoi l’Association du Mémorial National des Vétérans des Essais Nucléaires souhaite que le Mémorial édifié à Saint-Bonnet de Mure devienne un Mémorial d’Etat.

 

RETOUR SUR UN FAIT MÉCONNU

REVUE DE PRESSE:

Les victimes oubliées de la Seconde Guerre mondiale

À la fin de la Première Guerre mondiale, des troupes françaises issues des colonies d’Afrique sont stationnées en Allemagne, notamment en Sarre. À propos de leurs enfants nés d’unions avec des femmes de la région, Hitler écrira dans Mein Kampf qu’il s’agit d’un complot juif visant à bâtardiser l’Europe”. Rapidement, ils vont être mis au ban de la société et devenir des boucs émissaires. À partir de 1935, suite aux lois de Nuremberg, les mariages mixtes entre Noirs et Blancs sont interdits. En 1937, la Gestapo effectue des rafles et fait stériliser de force les Noirs. Considérés comme des animaux, traités de “honte noire”, ils sont capturés et envoyés en camp de concentration.

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Les soldats des colonies, cibles prioritaires ?

En France, les troupes des colonies vont être les premières victimes de la répression nazie. Pour certains historiens, telle Catherine Coquery-Vidrovitch, 65 000 tirailleurs s’engagèrent au combat entre mai et juin 1940 ; 29 000 seront massacrés. Les consignes de Goebbels ont été claires : il faut “dénoncer les Français comme des sadiques négrifiés […] cette racaille de couleur”. L’infanterie SS a pour ordre de “ne prendre vivant aucun prisonnier nègre”. Dès lors, les soldats capturés sont automatiquement fusillés. Entre le 12 et le 16 juin 1940, 105 hommes du 26e régiment résistent contre les nazis près de Chartres et donnent une leçon de bravoure aux Allemands. Lorsque ces derniers réussissent à renverser la situation, ils massacrent les hommes en prétextant qu’il s’agirait de violeurs de femmes et d’enfants.

Au début de la guerre, des mises en scène sont régulièrement organisées après les captures de “Sénégalais”. Les troupes coloniales sont montrées comme des “sauvages”, usant du “coupe-coupe”, mutilant et violant sans aucune pitié. Lorsqu’un officier nazi a besoin de montrer l’exemple dans les rangs de prisonniers, les Noirs sont abattus en priorité. Chaque acte de rébellion de leur part engendre inévitablement l’exécution de plusieurs d’entre eux. La convention de Genève sur le statut des prisonniers de guerre ne sera jamais respectée, et la population française ne protégera que rarement les survivants et autres évadés. Résolus à attiser la haine envers le soldat noir, les Allemands se plaisent à détruire les plaques d’identification des tirailleurs et abandonnent leurs corps à l’air libre.

Lyon, 19 juin 1940. Les Allemands prennent la préfecture ; l’occupation de Lyon est officielle. La veille, des réservoirs d’essence situés quai Rambaud ont été incendiés. La fumée masque le soleil dans certains quartiers adjacents. Il faudra attendre le 7 juillet pour que les soldats se retirent ; Lyon fera alors partie de la zone libre. L’armée française ne parvient pas à tenir tête à l’invasion allemande. En son sein, des tirailleurs sénégalais recrutés dans les colonies. Contrairement à ce que leur nom indique, ceux-ci ne sont pas issus d’un seul pays, mais de toute l’Afrique noire, et dépendent des troupes coloniales.

 

 

 

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REVUE DE PRESSE

L’héroïque résistance du 25e régiment de tirailleurs sénégalais

Le 19 juin 1940, à Chasselay-Montluzin, près de Lyon, alors que l’armée française recule, la 3e compagnie du 25e régiment de tirailleurs sénégalais ne reçoit pas l’ordre de retraite. Le régiment d’infanterie Gross Deutschland avance vers eux en compagnie de la division SS Totenkopf (connue pour avoir massacré une centaine de prisonniers britanniques au lieu-dit le Paradis). Ils vont rencontrer une résistance inattendue. Alors qu’ils n’ont presque aucune expérience du combat, les soldats africains vont résister avec une rage inédite. Pourtant, Pétain a demandé le cessez-le-feu, Lyon est abandonnée aux Allemands et déclarée ville ouverte. La Panzerdivision est déjà aux portes de la ville.

L’une des dernières batailles se déroulera au couvent de Montluzin à Chasselay. À l’intérieur, les religieuses soignent les blessés. Un officier allemand arborant un drapeau blanc s’approche d’un barrage français et proclame que l’armistice a été signé – ce qui est faux (elle ne le sera que le 22 juin). Le nazi hurle de ne pas tirer. Pourtant l’adjudant français Requier fait feu. L’homme s’écroule, les mitraillettes allemandes s’abattent sur le régiment. Les tirailleurs se battent, utilisant le couvent comme place forte, et surprennent les nazis, qui tentent plusieurs contre-attaques en vain. Ils doivent se résoudre à envoyer les blindés. Le 19 juin, les Allemands réussissent à prendre les lieux, abattent les tirailleurs et deux des trois officiers blancs accusés d’avoir dirigé des “nègres”.

Un dernier groupe, commandé par le capitaine Gouzy, s’est retranché à proximité, dans le château du Plantin. Le caporal mitrailleur Scandariato apporte un précieux témoignage sur la suite : “Nous étions environ une vingtaine de Blancs d’encadrement et un grand nombre de tirailleurs sénégalais. Le capitaine nous demanda quels étaient les volontaires pour le dernier baroud d’honneur, la coloniale ne se rendant pas sans un dernier combat. Tous répondirent présents et nous prîmes nos dispositions de combat tout autour du parc.” Les nazis perdront une centaine d’hommes et auront cinquante blessés. Les tirailleurs se battent jusqu’à ne plus avoir de munitions.

PAGE D’HISTOIRE MÉCONNUE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE : HOMMAGE AU 25ÈME RÉGIMENT DE TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS MASSACRÉ À CHASSELAY (RHÔNE) LE 20 JUIN 1940 PAR L’INFANTERIE RÉGIMENT GROSSDEUTSCHLAND ET LA DIVISION SS ALLEMANDE TOTENKOPT (TÊTE DE MORT).

Contraints de se rendre, ils sont immédiatement capturés. Huit officiers français ainsi que soixante-dix soldats africains sont amenés dans un champ. Les officiers sont sommés de se plaquer au sol tandis que les nazis obligent les tirailleurs à fuir en courant. Les mitraillettes des chars ouvrent alors le feu, abattant les hommes dans le dos. Les blindés avancent et achèvent les blessés sous leurs chenilles. Le capitaine Gouzy se rebelle et reçoit une balle de pistolet dans le genou pour seule réponse. Le 20 juin, c’est au tour de 27 tirailleurs d’être fusillés montée de Balmont à Vaise.

Après les massacres de Chasselay, Françoise Meifredy, membre de l’Amitié africaine cherchera les survivants et les aidera à se cacher. Aujourd’hui, il est encore difficile de savoir combien ont survécu. Plus d’une centaine de prisonniers trouvèrent la mort près de Lyon, dans l’indifférence générale. Ils furent les derniers à tomber pour la France avant l’armistice.

Photos Sylvain MORIN: CLIQUER SUR LES PHOTOS POUR AGRANDISSEMENT ET POUVOIR LIRE LA PLAQUE
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Le tata sénégalais

En 1942, apprenant le massacre, le Secrétaire Général de l’Office Départemental des mutilés de guerre, des anciens combattants et des victimes de guerre, Jean Marchiani, ancien combattant de 14-18, décide de réunir des fonds pour acheter un terrain à Chasselay.

Au lieu-dit le Vide-Sac, où ont été mitraillés les soldats, il fait construire un tata.

En Afrique, ce terme qualifie un lieu dédié aux guerriers morts au combat.

Ici, il s’agira avant tout d’une nécropole en hommage aux disparus. À l’intérieur, sont inhumés les corps de 196 tirailleurs, de plusieurs nationalités, et de la terre venue d’Afrique est répandue sur les tombes.

Symbole d’une période sombre, le lieu sera pourtant officiellement inauguré le 8 novembre 1942 par les autorités de Vichy.

Ces dernières auraient souhaité lever une armée coloniale pour ralentir les alliés en Afrique du Nord, mais les nazis ne virent pas l’idée d’un bon œil. Trois jours plus tard, les nazis envahissent la zone libre.

À la Libération, les tirailleurs survivants sont placés dans des camps, attendant d’être rapatriés.

En novembre 1944, 1 200 d’entre eux sont rassemblés à Thiaroye à proximité de Dakar au Sénégal.

Le 1er décembre 1944. Ils demandent le paiement de leurs indemnités et soldes lors d’une manifestation. Ils ne recevront que les balles tirées par les gendarmes français. Le bilan officiel fait état de 35 morts. Quant au tata, il faudra attendre 1966 pour qu’il soit déclaré nécropole nationale.

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VILLE DE CHASSELAY (RHÔNE)

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UNE POPULATION HORRIFIÉE 

Horrifiés par le massacre, les habitants de CHASSELAY enterrent les corps des Sénégalais dans un cimetière.

SIGNIFICATION DU NOM "TATA"

Cette nécropole a été construite selon le style d'architecture de l'Afrique de l'Ouest, où Tata signifie « enceinte de terre sacrée » en Wolof, dans laquelle on enterre les guerriers morts au combat.

DESCRIPTION DE LA NÉCROPOLE

L'édifice, entièrement ocre rouge, est constitué de pierres tombales  entourées d'une enceinte rectangulaire de 2,8 mètres de hauteur. Son porche et ses quatre angles sont surmontés de pyramides bardées de pieux. Le portail en claire-voie , en chêne massif, est orné de huit masques africains .

On a fait venir de la terre de Dakar  par avion, pour la mélanger à la terre française.

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